Roberto Zucco - Bernard Marie Koltès

Roberto Zucco est une pièce écrite par Bernard-Marie Koltès en 1990. Je trouve que les scènes dans cette pièce se déplacent très rapidement. Il y de moments que sont vraiment inquiétants et il vous font sentir mal à l'aise. Après avoir lu les lignes de la soeur qui disent: "Ce lieu/ces rues sont si sales, ils doivent être lavés" j'ai pensé au film Taxi Driver un film américain de 1976 réalisé par Martin Scorsese. Comme Roberto Zucco ce film suit le chemin d'un homme (Travis Bickle) seul qui vers le fin commence à devenir fou et il commence à tuer de gens. Dans le film, c'était lui-même qui dit "Someday a real rain will come and wash all the scum off the streets."




L'Homme du Hasard - Yasmina Reza

In the Train Compartment, Paul-Gustave Fischer 1860-1935
"Un compartiment de train - Un homme et une femme, pas de réalisme. De l’air. De la distance."

Ce sont les premières didascalies de cette pièce. Les seules personnages sont l'homme et la femme. Nous ne connaissons pas leurs noms. On sait seulement qu'il est un écrivain et elle est ene lectrice de tous ses livres. Et c'est comme ça que cette pièce se développe. La plupart de répliques dans la pièce sont des pensées intérieures. Mais on arrive à comprendre que c'est homme qui a écrit "L'Homme du Hasard" est vraiment l'homme du hasard qui se trouve dans une situation d'hasard, dans le même compartiment de train avec une lectrice de ses livres qui est train de lire son livre "L'Homme du Hasard."  En fin, on voit qu'ils aiment les même choses en fait et ils étaient destinés à se rencontrer.

En ayant voir que cette pièce est situé entièrement dans un compartiment de train, j'ai pensé à une de mes films préféré: The Darjeeling Limited. Un film américain de 2007 réalisé par Wes Anderson.


Conversations Après un Enterrement - Yasmina Reza

Au Théâtre Paris-Villette, la pièce était mise en scène par Patrice Kerbrat et Yasmina Reza (comédienne devenu auteur, 1987)


Les situations et les personnages de cette pièce m'ont fait penser au style des films de Woody Allen. l'intrigue est plutôt sur les dialogues de le film, et dans ce cas la pièce.

L'Hiver Sous la Table

           Si nous essayons d’imaginer la pensé la plus bizarre qui  peut arriver à l’esprit, peut-être que l’idée d’un homme cohabitant sous votre table de dîner n’est pas la première pensée mais elle est bien sûr parmi les pensées un peu hors de l’ordinaire. C’est ça justement, l’image principale dans le film L’Hiver Sous la Table. Réalisé par Zabou Breitman et sorti en 2004, le film est essentiellement une mise en scène de la pièce de théâtre française de Roland Topor, L’Hiver Sous la Table. Ce film mélange les aspects de film de comédie avec des aspects dramatiques, qui le font surtout un film comique.
            Les deux rôles principaux du film sont joués par des comédiens français bien connus à cette époque, Isabelle Carré et Dominique Pinon. Isabelle Carré joue le rôle du Florence Michalon, une jeune traductrice peu argentée qui loue un espace dans son atelier au-dessous de sa table de salle à manger pour Dragomir, un pauvre cordonnier immigrant. Accompagné par des autres acteurs bien connus, comme Guilaine Londez qui joue le rôle de Raymonde Pouce, Liviu Badiu qui joue le rôle de Gritzka, et Eric Prat qui joue le rôle de Marc Thyle.
            Avec des acteurs stupéfiants, ce film est captivant dans la manière qu’il montre comment des inconnus peuvent devenir des amis proches et apprendre à vivre les uns avec les autres tout en ayant un bon temps et en respectant les uns les autres.
            Je trouve ce film bien fait en gardant à l’esprit qu’il doit représenter un excellent jeu. L’intrigue vient vraiment des personnages. Ils restent fidèles aux personnages de la pièce. Isabelle montre très bien l’image d’une femme amicale et naïve mais déterminée à ouvrir son esprit et continue à être gentille envers les autres malgré ce que disent ces connaissances proches. Le développement de grands thèmes aussi graves que la solitude et l’immigration ne sont pas ignorés malgré les moments assez comiques dans le film. L’éclairage dans le film et la musique aussi donnent au film de la couleur et  facilite les mouvements entre les scènes.
Ce qui était un peu différent dans le film d’après la pièce ce sont les transitions entre les scènes. Dans la pièce, on voit qu’il seulement dit « Noir » et la prochaine scène commence mais dans le film ils utilisent de changements de nappes ou bien sinon un entracte avec de la musique et des animations graphiques. Mais j’ai trouvé que ça ajoute à l’enthousiasme de regarder la pièce en film.
            La mise en scène de L’Hiver Sous la Table en film a une intrigue qui rend la pièce plus comique et plus compréhensible visuellement. C’était une autre façon d’apprécier les bouffonneries qu’on peut seulement imaginer à la lecture.


Des Journées Entières dans les Arbres pt.2


De clips pour la pièce mise en scène:


Ce sont de clips vidéo de la mise en scène de "Des Journées Entières dans les Arbres" par le metteur en scène Sosthene Galbrun.

Ils commencent à partir du troisième vidéo dans la liste. Ils ont changé un peu les répliques. Je crois qu'ils ont ajoutés quelques répliquespour rendre l'atmosphère un peu plus deetendue.
 
Pour encore plus de clips:
http://wn.com/Des_journ%C3%A9es_enti%C3%A8res_dans_les_arbres 
 
 

Des Journées Entières dans les Arbres - Marguerite Duras

  Pour pouvoir mettre en scène cette pièce je crois que le plus important c'est de s'assurer que le personnage de la mère soit habillé comme elle doit être habillé. Son personnage a besoin d'être particulièrement crédible dans le sens de la robe parce que le texte était très descriptif. C'est vraiment claire qu'elle porte 17 bracelets et beaucoup d'or car elle est devenu riche. Un image d'une vielle dame raffinée viens à l'esprit.


Bien sûr, plus agée que cette femme ici. 
J'ai aussi trouvé une semi-courte vidéo de 13 minutes. Dans le vidéo on peut voir de scènes du film tiré de la pièce, réalisé par Marguerite Duras. Elle parle des difficultés avec le réalisation du film -comment se détacher de le concept théâtrale pour adpater la pièce au cinéma.

http://www.ina.fr/art-et-culture/cinema/video/CPA7605622205/des-journees-entieres-dans-les-arbres-de-m-duras.fr.html

En Attendant Godot pt. 2

L'existentialisme dans la pièce.
En des autres termes, Vladimir et Estragon attendraient à Godot pour toujours. Nous ne somme jamais donné une réponse à leur situation. Comme le public, nous les regardons faire les mêmes choses, dire les mêmes choses et accepter le fait que Godot peut ou ne peut pas venir. Tout comme eux nous sommes coincés dans un monde où nos actions dictent notre survie. Nous pouvons chercher une réponse ou un sens à notre existence, nous allons probablement jamais le trouver.
Vladimir et Estragon envisagement le suicide, mais en fin, ils ne le faisent pas. Cela a un effet plus comique plutôt qu tragique. Cela est dû à leur manque d'identité et détachement du public, convenant à l'absurdité de la pièce.